6 février 2008
Tourner la page 1
Dans "la voix de Nemesis", j'ai tenté une approche du thème de la vengeance en tant que réponse à un acte de trahison. Face à cette attaque sournoise et pernicieuse, je considérais tout à fait légitime, l'acte de vengeance comme un anathème sur l'autel expiatoire de la justice. La discussion s'est alors engagée avec certains d'entre vous, sur la différence entre la vengeance froide et différée et la réplique immédiate par la colère instinctive et "fulgurante". Le débat s'installa. Qui bene amat, bene castigat.
Une vengeance trop prompte n'est plus une vengeance; c'est une riposte. Henry de Montherlant
Publicité
Publicité
Commentaires