23 avril 2008
Le manichéisme en religion opposé au machiavélisme éclairé 3
Ainsi, notre vie est conditionnée, malgré nous, dès notre naissance en une «conscientia moralis sui generis», subtil équilibre entre le positif et le négatif, le bon et le mauvais, le blanc et le noir, le Bien et le Mal. En effet, dès l’enfance, nos actes sont jugés sur la balance du Bien ou et du Mal. Les encouragements ou les félicitations récompenseront les actes de Bien, tandis que les punitions corrigeront les actes du Mal. Les religions souscrivent d’autant plus à ce lent apprentissage qu’elles en sont depuis toujours à l’origine. Un dessein stristo sensu.
"Il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait étant dans son corps." (Corinthiens 5.10)
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