14 avril 2007
L'ombre du soupcon 2
J’ai démontré au fil de mes articles que chacun d’entre nous avait en lui, une dualité Bien-Mal originelle se neutralisant en un équilibre absolu et universel sans lequel nous ne saurions exister. Ces notions sont certes diamétralement antagonistes, mais aussi complémentaires. Nous pouvons ainsi nous émouvoir d’un aspect « inné » de certains de nos actes, qui relèvent plus de l’instinct que de la réflexion. Pour autant, nous ne devons nous laisser aller à des dérives pernicieuses d’un autre âge. Si le Mal est une donnée intrinsèque, sa manifestation n’en est que plus exogène et adventice.
La violence n'est pas innée chez l'homme. Elle s'acquiert par l'éducation et la pratique sociale. Françoise Héritier
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